387 ans réel Vampire carnivores née le 22 février à Venise italienne feat. Dakota Fanning
je suis et je resterais :
Jane est une petite fille depuis plus de trois cents ans, vous vos doutez bien qu’elle a eu le temps de perdre l’insouciance, la tendresse, le besoin d’amour, et l’innocent sourire qui font le lot des gamines de 13 ans, ce n’est plus avec une poupée qu’elle joue - d’ailleurs, elle n’a jamais vraiment jouer avec une poupée, la seule qu’elle a eue, elle lui a arrachée la tête parce qu’elle la trouvait mieux sans … - mais avec les humains. Elle est assez têtue et déteste être contredite. Il lui arrive souvent d’exploser, comme si elle accumuler la colère et qu’à un moment donner, tout voudrait sortir. Dans ces moment-là, seul Alec peut l’aider, car il est le seule à arriver à la canaliser, ce n’est arrivait qu’une seule fois, qu’Alec soit impuissant face à la folie de sa sœur. Car il faut dire que son sadisme peut vite passer pour de l’hystérie. La violence avec laquelle elle aime tuer ses victimes peut effrayer même certains vampires. Le plaisir qu’elle en tire est facilement explicable. Le jour où elle a été brûlé, la souffrance de ses brûlures n’a fait qu’accroître son don, et par la même occasion, sa haine envers les humains. L’idée de se nourrir de sang animal ne lui ai jamais venu à l’esprit, et elle ne compte pas s’abaisser au niveau des Cullen, qu’elle méprisent plus que tout. En réalité, Jane est surement un des vampires le plus sadiques parmi les rangs des trois frères. Depuis qu’elle occupe une bonne place au sein de son clan, elle ne supporte plus qu’on lui désobéisse et gare à celui qui essayerai quand même ! Il est vrai que parfois suivre les ordres d’une enfant peut être frustrant mais si un de subordonnés à le malheur de ne pas faire ce qu’elle lui demande, alors il se doute bien de ce qui l’attend. Suis-je obliger de préciser qu’elle est plus que têtue et bornée, quand elle veut quelque chose, elle l’obtient, sa volonté est sans égale, si elle vous dit non, elle ne dira pas oui, même cinquante ans plus tard. Elle assez rare qu’elle ne dise pas la vérité, mais il lui arrive fréquemment de ne pas tout dire, de cacher la vérité, ce n’est pas du mensonge, elle ne dit pas tout, point final. Elle a ses raisons. Si vous souhaitez être réconforté, ce n’est absolument pas elle que vous devrez allez voir. La seule personne avec qui elle peut être un tant soit peu affectueuse est son frère, Alec. Même si elle considère Aro comme son père, elle aurait du mal à le montrer à un personne aussi importante que son Père spirituel. Elle apprécie le peu de moments de complicités qu'elle arrive à avoir avec Alec, car ils sont souvents séparés par leur obligation pour la famille Volturi.
Derrière ses airs d’ange et son visage enfantin, se cache un démon blond au sourire enjôleur assez effrayant. Tout comme l’intégrale des créatures de la nuit, Jane est d’une beauté surréaliste, elle est comme une Aphrodite, enfin, c’est un euphémisme. Jane comme tous ses confrères vampires a le teint pâle, couleur craie, même un peu plus pâle que ses congénères et des traits dessinés dans la perfection même. Sa peau est de marbre, son corps est aussi dur et froid que la pierre tout comme elle d‘ailleurs. De petite taille, malgré ses trois cents quatre-vingt sept ans, elle a gardé l’apparence d’une jeune adolescente de treize ou quatorze ans, âge à lequel elle a été mordu par Aro. Contrairement aux cheveux presque noirs de son frère, les siens sont d’un blond foncé qui contraste avec ses yeux de tueuse. Oubliez les yeux emplie d’insouciance, de tendresse et d’innocence que vous imaginiez allez avec son visage de bambin sage, remplacer par des iris aussi profond que les abîmes qui se dégrade du cramoisi au rouge pâle suivant sa soif. Ils peuvent être doux, presque adorable lorsqu’elle est de bonne humeur ou dur et sévère quand elle ne l’est pas. Mais la plupart du temps, ses yeux pétillent, surtout quand elle sait qu’elle va devoir torturer quelqu’un. Assez mince, elle est plutôt svelte et profite de son corps pour s’habiller de couleur vive, du rouge ou du noir. Mais ses vêtements restent assez invisibles, car elle se promène souvent avec une cape sur le dos. Elle a de longs doigts fin et des ongles impeccables. Son nez aquilin est fin, remontant légèrement au bout mais qui frémit adorablement lorsqu’elle est contrariée. Ses lèvres sont pulpeuses et rosées, avec une jolie forme bien définie. Sa démarche est féline et pleine de grâce.
je suis né, j'ai vécu, je suis devenu :
Il y a parfois des chose qu’il faut mieux oublier pour son propre bien, pour le bien de ceux que l’on aime. Il y a parfois des choses qu’il ne vaut mieux pas remuer. Ce genre de souvenirs si douloureux, si brutal qu’ils nous ramènent à la réalité sans nous avoir laisser le temps de rêver un peu. Le genre de souvenir que je ne possède plus. Je suis sûr que tous les traîtres à notre race qui se souviennent de ce qu’ils étaient avant doivent regretter. Mais comme le dirait Maître Aro, nous ne devons pas vivre dans le passé, nous qui avons l’éternité à nos pieds.
Tout commence donc en 1622 quand je viens au monde, deuxième après mon frère jumeau, Alec. Nos naissances à quelques heures d’intervalle furent douloureuses et bruyantes. Nous aurions eu besoin de l’affection d’un père et d’une mère. Malheureusement, ou heureusement, ces deux personnes n’ont jamais existés pour nous. A peine venue au monde, nous étions déjà orphelin. Laisser à un orphelinat où l’affection ne semblait pas être de rigueur, Alec et moi avons du forger notre caractère avant même de prononcer nos premiers mots ou d’avoir fait nos premiers pas. La seule chose que nous recevions - en veux-tu ? En voilà !- sont les punitions, parfois injustes et cruelles. Si nous voulions survivre, il fallait nous battre dès les premières embrouilles aux risques de passer pour des faibles et de nous faire marcher dessus à longueur de journée ! Alors qu’Alec à peine enfant commencer à se battre physiquement, j’utilisais des techniques bien moins orthodoxes mais qui blessaient là où ça fait mal, la fierté d’un homme est quelque chose d’unique et qui déteste prendre des coups.
Les sanctions pouvaient être bénignes mais tout aussi bien violente et traumatisante. Du simple coup de règle sur les doigts aux sévères coup de fouet, je peux juste dire que j’en ai vu de toute les couleurs. Alec aussi. Chaque fois qu’il essayait de me protéger, moi la fragile humaine pathétique, il en payait les conséquences et était sévèrement puni également. Je pense que ce passage de nos vies nous a encore plus rapprochés. Chaque épisode que nous avons traversés nous a lié pour une durée immortelle. Nous ne pouvions compter que sur nous-mêmes. L’époque était dure à vivre. Souvent la faim tiraillait nos entrailles punies pour insolence. Le fait d’avoir souffert sans raison pendant des années doit surement expliquer le fait que nous aimions voir souffrir ceux qui le mérite …
La roue de la fortune semble tourner quand nous atteignons nos six ans. Du moins, c’est-ce que je me souviens avoir pensé au moment même ou l’affreuse bonne sœur qui tenait l’orphelinat nous a annoncé à mon frère et moi que par manque de place nous allions être transférés sur le continent, à Salem. La ville aux milles et unes sorcière … Je ne vous raconte même pas la joie intense qui nous a tous deux habités à peine ses lèvres de nouveau scellées. À peine débarqué, nous redevions nous faire une place pour ne pas être écrasés par les dominants. Nous n’avons jamais été des dominés. Ce qui explique le fait que nous avions réussis à nous faire un nom dans la petite ville. Petit à petit. Je ne dis pas que d’un coup en nous voyant arrivé, la vie à été meilleur. Non, nous avons reçu des dizaines de coups et donnés des dizaines d’autres. Nous avons fini des dizaines de fois la tête la première dans les poubelles, nous avons échoué plus d’une fois. Mais nous n’avons jamais abandonné. Le temps passe, tout comme les années, et tout comme chaque vermine humaine, nous vieillissons petit à petit. Nos distractions changent. Alors que je continue de me battre pour ma survie, pour notre survie, Alec s’intéresse plus à sa connaissance qu’au reste. Il commence à écumer les rues à la recherche d’ouvrages qu’ils pourraient dévorés. Quand l’un de ses dieux de papier croisait mon chemin, il m’arrivait de le ramasser afin de faire plaisir à ma moitié. De mon côté, je continuais mes activités illicites comme disait mon cher jumeau. Un peu de trafics d’une côté, de la haine et de la violence à semer de l’autre …
Cet éloignement du côté de nos distractions n’en était pas vraiment un. Il m’arrivait très fréquemment de le regarder lire et lui me suivait aussi dans mes longues promenades en ville. Mon frère m’a toujours défendu, aussi loin que je me souvienne. À l’époque, je pensais qu’en continuant à nous faire respecter, qu’en achevant le travail que nous avions commencer ensemble dans les rues, j’assurerais notre sécurité pendant quelques temps.
J’avais treize ans quand les choses s’envenimèrent. Ce fut la seule fois où Alec ne réussit pas à me calmer. Lui qui arrivait d’un simple geste à m’apaiser eue toute les peines du monde à réussir à me ramener à notre repaire. Ce jour-là, ma colère explosa contre un dénommé Mikelangelo. Je venais juste de le mettre à terre quand Alec arriva en courant. Il me souleva et m’éloigné de lui, essayant par tout les moyens de me calmer, m’attrapant la tête entre ses mains, il me supplia de ne pas continuer. Mais la rage coulait en moi. L’impulsivité dont je fis preuve m’étonnera toujours. Je me jetai sur l’enfant qui n’eut pas le temps de comprendre. Je continuais de frapper, encore et encore. Jusqu’à que mes mains furent meurtris par la douleur. Alec restait en retrait, paniqué, ne sachant que faire. Il essaya de me rattraper avant que ne déferle la deuxième vague. Mais j’eus ce jour-là l’impression que toute l colère que j’avais accumulé pendant ses treize années essayait de sortir en même temps. J’avoue que ce jour-là, je n’avais rien d’humain dans mes intentions. Finalement, épuisé, je laissais Alec m’attrapait doucement et le serrais contre lui. Mikelangelo était au sol, vaincus par mes coups. Il appelait sa mère, son père, Dieu, le prêtre. Il hurlait que j’étais diabolique …
La sentence fut donné seulement quelque heures après, à l’époque, la chasse aux sorcières battait son fort et on donnait une grande importance à ce genre de discussions. Nous fûmes condamner à mourir brûler vif, à être tuer par le bucher. L’aube arriva plus rapidement que jamais. Nous sommes sortis de notre cachot à six heures pile. Des dizaines d’habitants de la région étaient venu assister au spectacle réjouissant que semblait être notre mort inévitable. Quand le feu se forma, je regardai Alec une dernière fois. Je voulais que son visage soit la dernière chose dont je me souviennes. Les flammes vides commencèrent à lécher chaque partie de mon corps. Mais je ne voulais pas hurler. Je ne voulais pas leur faire ce plaisir. Je me sentais juste partir. Chaque parcelle de mon enveloppe corporelle réclamer pénitence. Quelques secondes avant que je ne rends mon dernier souffle devant la foule, un hurlement s’échappa de l‘assemblée, puis un deuxième et finalement se fut toute l’assistance qui mourut dans d‘atroces souffrances. Une forme noire s’approchait d’Alec et alors que j’allais lui hurler de ne pas l’approcher, je sentis un brulure vive dans mon coup.
Ce fut pire que de mourir brûler vif. J’avais été condamner aux Enfers et j’y était. Je n’avais pas réussit à protéger Alec et j’étais punie par les forces supérieures. Un hurlement de souffrance m’échappa. Cette fois-ci, seul les démons des Abîmes pouvaient m’entendre, je laissais donc mes cordes vocales exprimaient ma douleur. J’avais échoué. J’avais perdu Alec. L’enfer me paraissait délicieux, même cette brulure incessante qui se répandait en moi par rapport à la souffrance que je ressentais à l‘ancien emplacement de mon cœur. J ‘avais perdu ma moitié. J’étais seule. Il était seul, où qu’il soit. Il devait m’en vouloir. Mais bizarrement, la souffrance que je ressentais s’estompa. Je sentis une main sur ma joue. Je ne voulais pas encore ouvrir les yeux, par peur de se que je ne verrais plus. Finalement, une voix aussi douce que le chant d’un rossignol m’invita à ouvrir les yeux. Si mon cœur aurait encore battu, il aurait fait des bonds. Alec était vivant.
Je me raidis, pétrifiée d’effroi à l’idée que ce ne soit un piège des démons. Si il voulait me faire souffrir, l’image d’Alec était un point faible.
v o i x m y s t e r e_ Jane, ouvre les yeux s’il te plait.
Elle était douce, elle était confiante, mais elle paraissait aussi effrayée. J’ouvris finalement les yeux doucement. Alec était à côté de moi, il était aussi pâle que la mort. C’est traits avaient changer, il était magnifiques. Je l’observais, prenant conscience de chacun de ses changements. Ses yeux me troublèrent, ils n’étaient plus de ce vert rassurant, ils étaient rouge, d’un rouge sang que je trouvais assez effrayant à l‘époque. Derrière nous, un homme observait la scène. Au moment même, je voulut le tuer pour avoir oser faire du mal à mon frère, car je supposais que lui aussi s’était consumé sur lui-même. Aro m’invita à essayer. Sa confiance en lui me pétrifia. Il était comme lui, comme moi, comme nous, ses yeux étaient d’un rouge bordeaux exaltants, il paraissait si jeune et si vieux en même temps. Ses traits s’étaient figés dans son corps mais ses yeux débordaient de sagesse. Son discours me donna des frissons.
Sa doux ténor énonça un par un les particularités et les avantages de ce que nous étions devenus mon frère et moi. Il continuait de parler de nous expliquer, le temps semblait s’arrêtait en moi. Je le fixais incrédule. Alors, maintenant que nous avions été condamné pour quelque chose que nous n’étions pas, nous devenions ses démons que les mortels chassait ? Ma soif de savoir fut accrue durant les heures qui suivirent et je ne pu m’empêcher de poser tout les questions qui me passaient par la tête. Alec souriait naïvement derrière moi, mais je savais qu’il écoutait attentivement chacune de ses paroles. Puis, quand le silence retomba, je pu enfin me concentrer sur mes nouveaux pouvoirs. C’est à ce moment-précis que je ressentis la même brûlure que celle de ma transformation dans le fond de ma gorge. Aro nous souria et nous ordonna de ne pas bouger.
Quelques minutes plus tard, quand il revint, il avait amené avec lui deux humains. Et c’est à la seconde où il les posa sur le sol humide que je me rendis réellement compte de ce que j’étais devenu. Mon sourire s’éleva et le vampire en moi se nourrit pendant de longues secondes. Maintenant, à Volterra, les choses sont semblables à celle de ses 350 ans dernières années. La seule différence est la découverte de mon don et de celui d’Alec dans nos jeunes années d’immortelles.
Récemment, une famille de végétariens à fait remuer notre quotidien, les Cullen's. Une humaine était en couple avec l'un des leurs et par la même occasion été au courant de notre existence. Quand Aro s'est rendu compte qu'Isabella résistait à mon don, il a décidé de la laisser partir à condition que l'humaine soit transformer. Chose qui fut faite, non pas comme leur voyante l'avait vu. Avant d'être transformer, elle mit au monde une créature mi-humaine, mi vampire que maître Aro a décidé de retenir dans les murs de la cité.
un petit questionnaire pour en savoir plus sur toi :
Tu es plutôt pour ou contre les bonnes causes ? Il n'y a pas de bonne et de mauvaise cause, il n'y a que des avis, des choix et des crétins qui les proclame. Seule la loi est juste. Seul nos lois méritent d'être respecté. Tu penses quoi de Forks et ses environs ? Ce n'est que l'entre de végétariens puant et de cabot mouillés ! Qu'es-ce que tu aimes le plus dans les hamburgers ? Est-ce que j'ai une tête à manger des hamburgers ... Un T-shirt violet imprimé avec un slogan ou plutôt décolleté uni et flashant ? Aucun des deux, ma tenue reflète mon état d'esprit Un petit mot pour la fin ou tu préfères t'abstenir de nous cracher des jurons ? Je n'ajouterais rien ...
derrière l'écran, l'ange ou le démon :
Ton pseudonyme ou prénom : Vulthaz feat Mélanie Ton temps de connexion : je dirais une heure par jour La façon dont tu as connu PULSATION : demande de partenariat =) Le mot de passe que nous attendons pour te valider : Where is a daughter of Isabella and Edward Un exemple de RP :
Spoiler:
TWILIGHT PASSION : Elizabeth E. Evenson ( me ) & Chloé Brendley -- Et elle frissonna rien qu'en y pensant !
Si un désir devient si ardent, qu'il défit toute raison c'est que la bête vous a vaincu.
Le problème avec la folie des grandeurs c’est qu’on ne sait pas où finit la grandeur et où commence la folie. Si l’on considère que la folie commence à la fin des grandeurs et que les grandeurs n’ont pas de fin, il y a de quoi se demandait si la folie existe réellement ou si elle n’est que le reflet de divers accumulations. Après tout, personne ne né fout, on le devient, souvent un évènement tragique, un meurtre, un mort, une transformation, une rupture, une morsure, un changement de vie, une séparation, un départ, une rencontre, un accident, et souvent quelque soit cet évènement, il reste encrer dans la mémoire d’une personne. Souvent, ses nuits sont bercés de cauchemars, tous plus traumatisant les uns que les autres. Mais quand une personne folle ne dort pas, comment savoir si elle n’as plus toute sa tête. Peut-être est-elle tout simplement enjouée ? Mais non, il suffit d’un ou deux gestes ou d’une mimique, d’une moue, d’une grimace, d’une manière de chasser et vous vous retrouviez avec cette étiquette de fou …
Parfois, il voit se taire et observer. Parfois, il vaut mieux s’effacer et disparaitre temps qu’on le peux, car une fois qu’il est trop tard, il est impossible de remonter dans le temps pour faire demi-tour, et pour ma part, maintenant que je l’avais devant les yeux, il m’était impossible d’entendre à nouveau les hurlements de la femme. Le venin circulait maintenant dans ses veines, se répandant petit à petit dans tous les membres de son corps. Le feu la brûlait. Cette sensation étrange et désagréable que l’on ressent à sa propre transformation, la consumait sur elle-même. Oh ! Je savais ce qu’elle ressentait, mais je ne pouvais me résoudre à la laisser en vie, et je ne voulais pas mettre fin à ses jours ! Je voulais qu’elle meure, mais pas par moi … Non, ce n’est pas moi qui mettrait fin à ces jours. Chloé semblait ne pas encore être au courant de ma capacité à lire les pensées comme le tueur d’élan. Alors que j’attendais à recevoir un grognement inhumain qui serait sortir des tréfonds de sa gorge, je n’eu droit qu’à un pitoyable gémissement plaintif. Et pourtant, il me donna des frissons. Je voulu l’espace d’un instant mettre fin au jour de la pauvre agonisante qui continuait d’hurler, recroquevillée sur elle-même, mais lorsque je vis ses yeux engorgeait de ce liquide rouge, je ne put m’empêcher de rire. Le sang continuait de couler le long de son cou et de circuler dans ses veines malgré la brûlure. Cette femme allait mourir, il n’y avait aucun doute dessus. La seule question qu’il restait à posait était : dans combien de temps ?
La pauvre femme elle aussi pensait. Elle s’appelait Maria. Elle vivait à Port Angeles. Elle réalisa soudainement, comme si l’idée ne lui avait pas encore traverser l’esprit, qu’elle allait mourir dans peu de temps. Elle regretta beaucoup de chose à la fois. Ne pas avoir eu le temps de dire au revoir, de dire pardon, de dire je refuse, de dire merci. Elle regrettait tellement de chose à présent qu’elle me fit pitié pendant un cours instant. Elle réalisa qu’elle allait mourir tout comme du bétail. Et elle frissonna rien qu’en y pensant ! Elle voulait lutter, elle ne voulait pas finir en repas, et pourtant, c’était déjà trop tard. À l’instant présent, je me demandais vraiment ce que cette femme allait devenir, si finalement, son envie de survivre n’allait pas accélérer la propagation du venin, et par la même occasion, la transformer en vampire.
Puis, une bruit presque imperceptible, même pour un vampire me tira de ma léthargie. Elle avançait. Elle voulait la soulager. Pendant un instant, elle se demanda si elle n’allait pas la tuer, et je dois avouer que moi aussi, une courte seconde, j’ai crut qu’elle allait se lancer sur le corps à l’agonie de la pauvre Maria. C’est au moment précis où elle s’accroupia face à son visage que sa nature profonde m’arriva en pleine figure comme une seconde claque. La façon dont elle pensait aux Cullen me fit avoir un haut-le-cœur. Je me détournais, écœurée. Elle caressait les cheveux de la vermine qui m’avait servie de repas. Je voulu remercier l’humaine avant qu’elle ne meure, après tout, grâce à elle, une personne n’était pas morte. Elle donnait sa vie, et son sang pour sauver une autre, c’était comme ça qu’elle devait le voir. Comme un soldat qui donnait sa vie pour protéger son pays.
c h l o é _ Il faut faire quelque chose pour elle. Le venin est en train de la tuer. e l i z b e t h _ Tu pourrais la soulageais, il ne te suffirais que d’un geste. Elle agonise Chloé. Tu es un monstre de la laisser souffrir comme ça …
En prononçant ses mots, je m’étais approché, jusqu’à la frôler. Détournant mes pas d’elle, je me m’était derrière elle, dos au mur. Elle doutait, elle ne savait pas si elle allait réussir à combattre la brûlure dans le fond de sa gorge, et surtout si elle allait réussir à aller à l’encontre de son instinct de prédateur. Elle devait mieux comprendre maintenant pourquoi les humains ne participent pas aux chasses. Quand le sang commence à couler, il devient plus fort que tout, et rien ne peut nous rendre la raison, temps qu’il n’a pas coulé … Elle devait se rendre compte maintenant qu’une fois que l’on a été mordue, on devient un monstre quand même. Être au courant que des milliers de personnes meurent par an, tuer dans d’atroces souffrances et ne rien faire pour les aider était tout aussi cruel que de les tuer. Du moins, si l’on le raisonnement de certain vampire. J’hochais la tête sur le côté, plus pour moi qu’elle. Je ne savais pas franchement si elle l’avait vue. Et pour le moment, je dois dire que j’étais perplexe. Cela ne faisait que quelques jours, tout au plus quelques semaines qu’elle avait été mordu et pourtant elle semblait résister au sang d’une manière assez inhabituelle pour un vampire. Les Cullen aurait du l prévenir que le sevrage est assez difficile. Cela lui éviterai de se considérer comme un monstre à chaque fois qu’elle boirait du sang dans les prochains mois. Il n’y a qu’à regarder certains vampire végétarien qui ne l’était pas avant, comme une des sœurs Denali. Une fois que l’on a gouter au sang humain, il est parfois difficile de ne pas recommencer.
Et puis, l’adrénaline d’une chasse donne au vampires le besoin de renouveau sans lequel il mourrait facilement d’ennui. Imaginer vous une vie où les jours seraient semblables, ou tout se ressemblerait, où il n’y aurait aucune nouveauté, rien d’excitant, rien qui ne nous fasses sortir de notre quotidien. Parfois un rien nous ravit, et une vie humaine n’est rien. Voilà ce qu’il fallait se dire, sinon, beaucoup de sangs froids serait suicidaire. On en doit pas avoir de remords. Après tout, les humains tuent bien du bétail pour se nourrir eux, alors pourquoi nous, nous ne pourrions pas tuer des vermines pour continuer de vivre notre immortalité sans nous morfondre sur le temps qui passe lentement.
e l i z a b e t h _ Il faut parfois accepter ce que l’on devient petite Chloé, même si cela va à l’encontre de tous nos principes. Il faut juste accepter, et continuer de vivre avec. On ne doit pas pleurer le passé, oublies ton père et les Cullen, après tout, c’est à cause d’eux que tu es devenu une tueuse Chloé. Penses-y, je te dis ça parce qu’au fond, je t’apprécie.
C’était cruelle, je dois bien l’avouer, et pourtant, le sang coulait toujours sur le cou de la malheureuse qui semblait peu à peu se mettre à déliré. Elle hurlait encore mais avec moins d’intensité, comme si ses forces la quitter. Comme si la vie la quittait. Son cœur battait toujours, mais la violence de la souffrance que le venin lui faisait ressentir était sûrement entrain de lui faire perdre connaissance. Ces cheveux lui tombait sur le visage. Elle s’étouffait, l’air avait du mal à rentrer dans sa trachée et dans ses poumons. Pendant un instant, je voulus de nouveau lui permettre d’abréger ses souffrances. Mais je me refusais ce geste. Même si la brûlure dans le fond de ma gorge se faite oppressante, je venais de boire, je n’avais aps de soucis de contrôle par rapport au sang moi. Je tuais quand je voulais alors je pouvais bien laisser le sang de cette malheureuse à ma malheureuse ancienne Mia cantanta …
Désolé, c'est pas top je crois. J'ai déjà fait mieux du moins ...
Jane Volturi
MESSAGES : 2 TON ÂME SOEUR : Tu m'as bien vu ? COPYRIGHT : avatar : Choukette icone : Mushu
TALK ME. je veux ça, maintenant: je le connais depuis ce temps-là:
Sujet: Re: jane a. volturi _ a nightmare street { 100 % Sam 9 Jan - 14:43
Bonjour, vous pouvez supprimer mon compte. Il semblerait que votre forum soit mort, dommage :S
jane a. volturi _ a nightmare street { 100 %
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum