; m. alice. ▬ « le talent, mon cher, le talent ! (♥) »
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Alice M. Cullen
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Sujet: ; m. alice. ▬ « le talent, mon cher, le talent ! (♥) » Dim 13 Déc - 22:59
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Mary Alice
Brandon Cullen.
101 ans. Vampire végétarienne. 1901, à Biloxi. Américaine. feat. Ashley Greene.
je suis et je resterais :
« Ce que je suis ? Ma famille me compare à un lutin amusant, mas terriblement agaçante. J'aime la mode, le shopping, et tout ce qui s'en suit, et j'avoue que je dois les embêter avec mon goût prononcé pour les beaux vêtements. Je ne suis pas quelqu'un de méchant, loin de là. Je suis ouverte d'esprit et très sociable. J'aime rencontrer des nouvelles personnes, me lier d'amitié avec eux. J'apprécie ma famille, et j'ai toujours besoin d'être proche d'eux pour ne pas me sentir seule.
Étant donné que je suis un vampire, j'ai une démarche gracieuse et ordonnée. J'aime ce côté 'beauté surnaturelle' qu'on me donne, mais parfois, les regards des passants me gênent. J'ai de beaux et soyeux cheveux que je laisse soit lisse, soit en pique. Un visage fin, souriant et ensoleillé. Une taille des plus petites, je vous l'accorde, mais j'assume ! On me compare souvent à un lutin, puisque je me déplace en dansant presque. »
un petit questionnaire pour en savoir plus sur toi :
Tu es plutôt pour ou contre les bonnes causes ? pour. Tu penses quoi de Forks et ses environs ? j'aime, tout simplement ! Qu'es-ce que tu aimes le plus dans les hamburgers ? rien, je n'aime pas les hamburgers. Un T-shirt violet imprimé avec un slogan ou plutôt décolleté uni et flashant ? les deux ! Disons que je porterais plus un t-shirt violet imprimé avec un slogan si j'aurais un jeans slim assez clair Pour un décolleté uni et flashant, ça sera plutôt quelque chose de plus foncé Un petit mot pour la fin ou tu préfères t'abstenir de nous cracher des jurons ? Mais non, je vous aime !
derrière l'écran, l'ange ou le démon :
Ton pseudonyme ou prénom : Clémence Ton temps de connexion : 7/7 La façon dont tu as connu PULSATION : PRD Le mot de passe que nous attendons pour te valider : Where is a daughter of Isabella and Edward ? Un exemple de RP :
Spoiler:
PRÉSENTATEUR N°1- Et il passe le ballon à son coéquipier qui s'approche du but qui... BUUUT ! Ahlala, tout est possible, dans le football ! C'est si formi...
En un clin d'œil, j'avais arrêté la télévision. Ayant finis à 16h00, je m'étais rendue chez moi pour regarder le DVD qu'une amie m'avait passé. Elle m'avait rappelé une dizaine de fois que ce film était le meilleur qu'elle avait vu, qu'il était génial et qu'elle ne cessait de pleurer à chaque fois qu'elle le voyait... Pleurer ? J'en avais bien besoin. L'habitude de pleurer chaque soir pour évacuer la pression des cours, de mes relations, de mes petits problèmes réguliers, m'avait pris il y a cela de quelques mois. Surfant sur le net, j'avais remarqué une personne aussi sensible que moi qui proposait à tout le monde un petit remède pour se soulager. Je n'avais pas hésité à le faire en regardant le Titanic. Ouais, bon, c'était pas spécialement nouveau, mais à chaque fois que je visionnais ce film, les larmes coulaient, coulaient et coulaient encore... L'amour si fusionnelle que les deux personnages principales développait était si magique qu'il était impossible de douter que leurs sentiments n'étaient pas réciproques. Pour casser le mythe, je ne pouvais m'empêcher de me dire que malgré les apparences, l'un ne pouvait pas aimer l'autre comme ce dernier pouvait en être amoureux. C'était sans doute compliqué à vos yeux, mais aux miens, c'était d'une banalité effrayante. Pourquoi ? Parce que j'avais déjà vécu ça. C'était horrible d'avoir la sensation d'aimer mais de n'avoir rien en retour. Le pire, c'est que, pourtant, pendant toutes ces années passées avec lui, je n'avais pas pu douter un seul instant que ses sentiments n'étaient que du vent... Oh mon dieu, pourquoi m'avait-il laissé ici ?! Et... pourquoi, alors que je parle du Titanic, il est forcément obligé que je revienne à lui ?
Sachant que si je me lançais dans ce genre de songe, j'allais finir ma soirée un mouchoir à la main, les larmes de désespoir roulants sur mes joues. C'est ce que je cherchais, certes, mais je ne désirais pas pleurer pour lui, mais plutôt pour un film, histoire de décompresser. Or, il s'avérait que ce DVD était l'un des plus pathétiques que j'aurais pu voir. L'histoire d'un garçon populaire aimant une fille studieuse, à fond sur ses mathématiques et maladroite. C'était du déjà vu... et qu'est-ce que c'était ennuyant ! Au final, j'avais éteins le lecteur DVD et j'avais eu la bonne idée de regarder ce qu'il y avait à la télévision. Ce que j'avais récolté était bien maigre : foot, film à l'eau de rose et une chaîne où des femmes expliquaient leur complexe si... si bizarre, on va dire.
Quand la télé fut éteinte, je me retrouvais dans le noir complet. Ah, j'avais oublié d'allumer la lumière avant de l'éteindre... Et tout mes amis savaient à quel point je détestais être noir. Je n'en avais pas peur, c'était juste que la sensation d'être dans une pièce où tu ne peux rien voir m'effrayait. Rapidement, je me levai et baladai mes doigts sur le mur. Je décrochai malencontreusement un petit tableau qui se claqua au sol en un fracas sourd. Je ronchonnai avant d'appuyer sur l'interrupteur. Baissant lentement les yeux, je remarquai que la glace qui recouvrait la peinture était brisée en milles morceaux. L'envie soudaine de reporter cela à demain me prit et je laissai tomber cette tâche pénible. Je m'approchai de la grande baie vitrée avant d'ouvrir les rideaux que j'avais auparavant fermé. Le soleil m'éblouit rapidement. Je grimaçai en posant d'une geste machinale mon bras contre mon front, m'empêchant d'avoir la tête qui tournée.
Bon, il fallait que je sorte. Je ne pouvais pas rester chez moi à ne rien faire. Pourquoi pas... aller au parc et, par la suite, manger dans un bon restaurant ? Oui, j'allais faire ça. Et puis, si je m'ennuierais, j'appellerai un ami. Quoi de mieux que de passer un petit moment avec quelqu'un que l'on apprécie ? D'ailleurs, c'était ce dont j'avais besoin, à cet instant... Mais le manque de solitude me submergeait encore et encore. Ça devait sûrement être mon caractère. Un peu solitaire, sans doute. J'enfilai ma veste en cuir noire, attrapant au passage mon inséparable sac à main, et me voilà partis en direction du nord. Aussi long que le trajet puisse durer, je décidai d'y aller à pied tout simplement parce que je prenais l'habitude de me rendre partout avec mes petites jambes qui tenaient le coup. A quoi prendre une voiture ? J'étais jeune et pleine d'énergies, comme tout le monde, quoi.
Voilà vingt minutes que je marchais vers le nord de la ville. Quand l'immense parc s'offrit à mes yeux, je finis par soupirer de soulagement. Bon, j'étais jeune et pleine d'énergies, mais fallait quand même pas pousser, à force, j'allais finir étalée sur la rue et on viendra me demander qu'est-ce qu'il m'a mit dans cet état là. Je répondrai que l'idée saugrenue de marcher, marcher, marcher partout m'avait traversé un jour l'esprit et qu'elle ne m'avait plus quitté. Traversant le parc, j'avançai tout droit devant moi, à la recherche d'un petit coin paisible. Le bruit de l'eau retint mon attention. Je finis par ralentir le pas en remarquant que quelqu'un y était déjà. A une dizaine de mètres de moi, l'inconnu lisait un livre. Je soupirai avant de continuer mon chemin. Avec ma curiosité habituelle, je jetais des rapides coups d'œil sur le côté, tandis que le visage du jeune homme se découvrait peu à peu.
Et là, je m'arrêtai net. Non, impossible. Ce n'était pas lui. Je rêvai, encore et toujours. Mes jambes fléchirent et je dus résister pour tenir debout. Je n'avais jamais songé à l'imaginer quelques années plus tard mais il ne semblait pas avoir changé. Trois hypothèses s'offraient à moi : Soit il avait un clone dans ce monde, mais c'était étrange qu'il lui ressemble autant, pourtant, le voir fumer me rendait perplexe, il n'avait jamais fumé, auparavant. Soit je rêvassai et qu'enfaîte, je n'étais pas au parc mais dans mon lit, à m'imaginer des films. Ou soit il était bel et bien en face de moi, en chair et en os, comme dans mes songes les plus fous. La troisième hypothèse me parût sordide, mais l'envie d'être certaine de ne pas avoir manqué le moment qui, peut être, changerait radicalement ma vie était forte. D'une marche que j'espérais discrète, je m'avançai lentement vers lui. Bon, ce gars allait me prendre pour une folle dingue si ce n'était pas lui...
Quand enfin je fus en face de lui, je ne pus retenir une larme qui glissa le long de ma joue. Silencieuse, je l'a retirai. Ma voix retentit dans mes oreilles, aussitôt tremblante.
SELÏA- Cinq longues années.. Ça vous dis quelque chose ?
Dernière édition par Alice M. Cullen le Lun 21 Déc - 12:47, édité 3 fois
Alice M. Cullen
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Sujet: Re: ; m. alice. ▬ « le talent, mon cher, le talent ! (♥) » Dim 13 Déc - 22:59
« Le rythme cardiaque de mon pauvre cœur s'intensifiait. Dans une course sans limite, mes larmes coulaient le long de mes joues pour s'écraser au sol. Mes pieds, tels des enclumes, martelaient le sol en proie à un vertige inexplicable. Je laissais un sanglot s'étouffer dans ma gorge sèche et bientôt, ma peau chaude se refroidit sous l'effet de la peur. Un coup d'œil furtif en arrière m'indiqua que je l'avais semé. Mes jambes fébriles se replièrent sur elles-même tandis que je m'écroulais au sol. Il faisait noir, je ne voyais rien. Seul les bruits de pas m'indiquaient si j'étais suivis, ou non. Les secondes passèrent... et de nouveau, j'entendis des bruits de pas derrière moi. Mon cœur fit un bond. Je tentais de me relever, en vain ; la froideur empêchait mes articulations de fonctionner correctement. Tout à coup, on s'empara de mon bras droit. Je tentais de le retirer, mais on me le serrait fermement. Je trouvai enfin la force de hurler, criant mon désespoir, jusqu'à ce que ses dents, pointues et lisses, s'enfoncèrent dans ma peau.
Des cris de douleur s'échappèrent de moi et mes yeux se refermèrent aussitôt, tentant de dissimuler cette surprise douleur semblable à l'éternité. Je sentis la chaleur d'un liquide coulant dans mes veines, qui les refroidirent aussitôt. Un liquide facilement comparable à un venin mortel. Plus le temps passait et plus la douleur s'intensifiait. Bientôt, je perdis connaissance et m'enfonçai dans des songes lointains... »
Lentement, j'ouvris un œil. Puis l'autre. Fébrile, ma vue flanchait, et je fermais les yeux. Je voulus agiter le bras droit pour montrer ma détresse, mon étouffement incompréhensible, mais personne ne fut là pour m'aider, me soutenir. Je tentais de bouger avec lenteur... Mes jambes ne me répondaient plus. Les jours passèrent, et j'avais enfin pu trouver la force de me redresser. Je m'étais retrouvée seule dans un entrepôt, à l'abri de tous les regards. Rapidement, je me suis sentis plus forte, plus puissante. Je crus comprendre que nous étions en 1920. Une soif inexplicable me prit, et je dû chasser des... humains. Qu'étais-je ? Ca, je le su des semaines plus tard. J'allais de ci et là pour tenter de connaître ma vraie identité. Je ne savais rien de mon passé, rien de ce que j'étais et rien de ce qui m'arrivait. Après une quête sans limite, je rencontrai enfin quelqu'un qui me parut le mieux approprié. Il avait les yeux rouges, comme moi, et il me dévisageait avec lenteur. Je lui racontai alors tout ce que j'avais pu vivre, et il me dit que j'étais devenue un vampire. Je fus surprise de ne pas être prise d'effroi. Si ce qu'il me disait était vrai, j'étais considérée morte par ma famille - si j'en avais une... - Je trouvai même ma tombe, où ma date de naissance fut le 1901. Je me prénommais Mary Alice Brandon et, comme j'avais pu comprendre, j'étais morte en 1920.
Pourtant, alors que je chassais des humains pour atténuer ma soif, j'eus des visions. J'avais l'impression que tout cela allait arriver. Une seule m'avait réellement intéressé. Il se nommait Jasper Whitlock. J'étais censée le rencontrer, dans ma vision. Ce qu'il se fit... Quelques semaines plus tard, dans un restaurant de Philadelphie, je fis la rencontre d'un dénommé Jasper. C'était lui. J'avais appris à contrôler ma soif, à présent. Cela faisait cinq ans, et être en compagnie d'humains commençait à devenir familier pour moi. Je lui parlai de nos points communs, de mon don, et nous nous sommes joints pour aller voir les Cullen -encore une autre vision.-. Là bas, je rencontrai une famille des plus merveilleuses. Esmée, une vampire douce, tendre et affectueuse. Carlisle, le vampire sage. Rosalie, superficielle aux premiers abords mais si agréable à vivre. Emmett, joueur et blagueur. Et Edward, souvent un peu plus en retrait. Ils nous accueillirent avec joie et Jasper et moi nous installions alors dans la demeure des Cullen. Je me fis appeler Alice Cullen, censée être la fille d'un docteur Carlisle Cullen et d'Esmée Cullen. Mes frères et sœurs devraient être Rosalie, Edward et Emmett. En 1950, alors que Jasper et moi filions l'amour parfait, nous décidions de nous marier. L'amour que nous nous portions n'était pas spécialement physique, c'était plutôt mental. Il était ma moitié, et je l'étais aussi. Il comblait le vide que j'avais quand je me retrouvais seule, et je lui apprenais à oublier ses erreurs passées... J'avais adopté un régime que les Cullen avaient imposé ; le régime végétarien. Ne pas boire de sang humain.
Les années passèrent et je fus très proche de ma famille. Edward était le frère avec qui j'étais le plus proche. Ce dernier s'éprit d'Isabella Swan, une humaine, alors que nous arrivions à Forks. Je me liai très vite d'amitié avec Bella. J'aimais ce qu'elle était, et j'avais dans l'espoir qu'un jour, Edward et Bella soient ensemble, et pourquoi pas pour l'éternité ! Comme dans mes visions les plus proches, ils furent en couple, et bien qu'Edward avait dû mal à se tenir sagement pour ne pas la tuer, il n'était pas moins que je le voyais plus amoureux que jamais. A ce qu'il nous disait, le sang de sa belle était beaucoup plus envoutant que les autres. Il n'arrivait même pas à lire dans ses pensées. A croire qu'ils étaient pré-destinés à se rencontrer ! Lors d'une partie de baseball, nous avions rencontré trois vampires traqueurs. Dont un, James, qui voulait avoir Bella pour la vider de son sang. Edward l'avait défendu, mais James avait en tête de la prendre. Il réussit à la piéger à Phœnix, mais mon frère était arrivé à temps avant qu'elle ne soit transformée.
Bella avait aussi découvert mon passé. J'avais été enfermée dans une asile psychiatrique à cause de ma capacité à voir l'avenir. Tout le monde me prenait pour une folle. Seulement, et ce fut encore et toujours James que l'on parle, on me traquait. Un vieux vampire me protégeait, mais comme il se doutait que j'allais un jour ou l'autre finir par mourir entre ses mains, il voulut me transformer. James le tua et m'enferma dans le noir pendant des mois et toute la journée. Ce fut donc la raison pour laquelle je déteste me retrouver seule, à présent. Tout s'enchaîna à une vitesse fulgurante. Bella fut enceinte, alors qu'elle était encore humaine, de Renesmée. Cette dernière la tuait petit à petit dans le ventre de Bella, mais celle ci était incapable de la tuer. Avant qu'elle ne meurt de souffrances, Edward l'a transforma contre son gré. Elle fut donc vampire, comme lui.
Seulement, les Volturis, la famille la plus puissante de tous les vampires, voulurent prendre Renesmée. Elle avait un don, et ils la voulaient. Toute la famille fut très attristé par son départ. Je me rends complètement dingue à tenter de voir des visions sur elle, mais je n'y arrive pas. J'en suis incapable. Notre Nessie nous manque... Et je sais qu'un jour, nous arriverions à la reprendre ! [size]
Dernière édition par Alice M. Cullen le Lun 21 Déc - 13:07, édité 2 fois
Alice M. Cullen
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Sujet: Re: ; m. alice. ▬ « le talent, mon cher, le talent ! (♥) » Dim 13 Déc - 23:00
- two. gosh, lulute, tu t'es encore lancées dans un RPG Twilight ? (a) malou.