TALK ME. je veux ça, maintenant: je le connais depuis ce temps-là:
Sujet: Carlie ♦ the humans ♦ ended Ven 18 Déc - 16:24
Sugarfall
Carlie Faith
Johansson
17 ans Humaine 29 mars 1992 à Los Angeles Américaine feat. Miley Cyrus
je suis et je resterais :
« Rancunière – Je n'oublie jamais rien. Quelque soit le mauvais coup que vous m'aurez porté, je me vengerais au moment opportun, au moment où cela fera le plus de mal. Autant ne pas vous frotter à moi, sauf si vous voulez avoir des répercussions irréversibles. Impulsive – C'est bien un mauvais défaut que j'ai là. J'ai tendance à démarrer au quart de tour quelque soit la remarque. Négative le plus souvent. Pourtant j'essaye de travailler sur mon impulsivité mais autant vous avouer que cela n'est pas toujours facile. Colérique – Allant de paire avec mon impulsivité, je me met très facilement en colère, et si vous voulez un conseil. Mieux vaut ne pas être proche de moi lorsque je commence à me mettre en colère car ce n'est pas beau à voir. Croyez-moi ! A l'écoute – Je suis une personne qui est toujours là pour ses proches lorsque ceux-ci ont besoin d'une oreille bienveillante, de quelqu'un de confiance à qui on peut parler si besoin il y a. Active – Je ne sais pas rester sans rien faire, je bouge toujours. Je n'aime pas rester à ne rien faire, à me tourner les pouces. Parfois je ferais quelque chose de complètement inutile à vos yeux, mais qui m'occupera l'esprit et les mains à mes yeux. Déterminée – Je vais toujours au bout de mes objectifs, je n'abandonne jamais avant d'avoir atteint mes buts. C'est ce qui fait ma force. »
je suis né, j'ai vécu, je suis devenu :
Cher journal,
Aujourd'hui j'ai quelques souvenirs de mon enfance qui sont remontés à la surface, et tout ça rien qu'en regardant un album photo. Que j'étais jolie étant bébé, un vrai petit ange. Je me souviens de mes premiers mots, quand cela avait émerveillé mes parents. « maman » c'était les cinq premières lettres que j'avais prononcé, je me souvient également du sourire que papa et maman avaient eu en m'entendant. Bizarrement il y a peu de souvenirs qui me reviennent, juste quelques bribes de moments familiales. Comme cette journée sur la plage durant des vacances en Californie. C'est sans doute l'un de mes meilleurs souvenirs d'une moment d'amour, de tendresse et familiarité. Je me rappelle surtout que je me plaisait tellement en Californie que je ne voulais pas rentrer à Los Angeles. Oui Los Angeles c'est là ou je vis depuis ma naissance, j'aime cet endroit, mais la Californie s'était tellement ... tellement ... je ne trouve même pas les mots pour te dire combien j'aimais cet endroit. Bon, il est l'heure pour moi d'aller aux pays des rêves. Il est tard et je somnole déjà. Bonne nuit.
Cher journal,
Tu sais quel jour nous sommes ? Le 29 mars et c'est mon anniversaire, j'ai eu quatorze ans aujourd'hui et j'ai eu le plus beau des cadeaux à mes yeux. Cela faisait des mois que je bassinais mes parents pour avoir ma guitare et je l'ai enfin eue. Je suis tellement heureuse tu ne l'imagine même pas. Je nourris une passion sans faille pour la musique. La preuve, pour mes treize ans mes parents m'avaient offert des cours de chant, cette année une guitare, comment ne pas évoluer dans le milieu de la musique ? D'ailleurs je compte bien faire carrière dans ce domaine ... du moins je l'espère, se serait mon rêve. Je dois dire que je suis plutôt douée pour jouer de la gratte. Depuis ce matin j'arrête pas d'en jouer, si bien que papa et maman deviennent fou, je pense même qu'ils sont en train de regretter leur achat. C'était à leurs risques et périls je les avais pourtant prévenus ils ne peuvent pas dire le contraire. Bon, demain j'ai cour et si je ne dort pas, je risque de m'endormir en cour. Et je reviendrais avec de mauvaises notes et mieux vaut pour moi que je reviennes avec une note acceptable, sinon bye bye le cadeaux d'anniversaire si cher à mon cœur.
Cher journal,
Je le déteste, je le hais, je ne veux plus le voir ! Oh excuse moi cher journal, je suis juste un peu sur les nerfs. Ma journée a été très ... compliquée aujourd'hui. J'ai été faite cocue, tu y croit toi ? Mais c'est pas ça le plus difficile à avaler, non, c'est que mon « petit ami » qui ne l'est plus depuis trois heures ma trompée avec ... tam tam tam – roulement de tambours – avec ma meilleure amie. Cette traitresse avait des vues sur celui que j'aime – je ne peut me résoudre à parler au passé, car je l'aime toujours, mes sentiments ne s'envolent pas en un claquement de doigts – Si tu savais combien je me sent mal. Je croyais avoir trouvé la perle rare et en faite je m'étais trompée – encore -. Je n'ai envie que d'une seule chose ... me venger. J'ai la mauvaise habitude d'être rancunière et vengeresse. Kaitlyn – la pseudo meilleure amie – va regretter d'être venue au monde, croit-moi ! Quand à Ethan – le pseudo petit ami – lui, va regretter d'avoir perdu une fille comme moi. Qui se frotte à Carlie se pique. Je sent que je ne vais pas dormir de la nuit, je vais ruminer, penser à une vengeance qui fera encore plus mal que ce que moi j'ai ressenti en apprenant la nouvelle. Mais je dois quand même te laisser. Bonne nuit !
Cher journal,
Muhahahaha aujourd'hui a été la journée parfaite pour me venger d'Ethan et Kaitlyn ! Je suis fier de moi ! Je dois avouer que j'ai fait fort. Je t'explique ça tout de suite. Ce matin en arrivant au lycée, je les ai vu tout les deux bras dessus, bras dessous, j'ai crus vomir sur le coup, mais j'ai repensé à mon plan et tout de suite j'ai repris le sourire. Donc ce matin en arrivant, j'en ai profité que les deux traites étaient loin de leur casier pour aller glisser un mot dans le casier de chacun, évidemment, mon écriture est assez reconnaissable c'est pour ça que j'ai demandé une petite participation de mon frère, bizarrement il avait accepté sans broncher. Comme quoi ça sert d'avoir un frère, aussi stupide qu'il puisse être, sur ce coup il m'a été d'un grand soutient. Bref passons. Sur le mot de Kaitlyn il était écrit. « Rejoins-moi derrière le lycée après les cours. Je t'aime Ethan » et sur celui d'Ethan il était écrit la même chose mais de la part de Kaitlyn. Bref, jusque là rien de bien étrange. Attendez la suite. Lorsque Kaitlyn s'était rendue derrière le lycée après les cours une bien mauvaise surprise l'attendait. En effet, j'avais donner un petit quelque chose au garçon le plus laid du lycée pour qu'il se jette sur Kaitlyn et qu'il l'embrasse – autant vous dire que cela ne le dérangais guère puisque celui-ci était fou amoureux de la fille – bref, autant vous dire que cela à barder lorsque Ethan est arrivé sur les lieux et à vu la scène. Kate à beaux eu lui expliquer que ce n'était pas de sa faute, il n'a rien voulut entendre. Il a rompu. Et moi je me retenais de rire de là ou j'étais. Je sent que je vais passer une excellente nuit.
Cher journal,
Horeur ! Horeur ! Maman et papa on décidé de déménager. Ils veulent quitter Los Angeles ... pour aller vivre à Forks ! J'ai fait des recherches et cette ville est un pur cauchemar. La méteo est très mauvaise, il fait froid et il pleut tout le temps. C'est l'horreur. En plus si il y a plus de mille habitants c'est beaucoup. J'ai eu beau supplier maman de ne pas partir, elle n'a rien voulut entendre. J'aime LA, je ne veux pas partir. L'excuse qu'ils ont trouvé pour partir, c'est qu'ils veulent changer d'air et que je n'ai pas mon mot à dire ! Je dois dire que c'est un changement d'air radical ! Je vais devoir quitter mes amis, changer d'école, me faire de nouveaux amis – quoi que ... ça risque d'être compliqué – bref, je sens que le changement de ville va être dur ... très dur ! Je vais même en faire des cauchemars cette nuit, je le sent.
Cher journal,
Ça fait deux jours que je suis ici, et comme je le redoutais, je déteste cet endroit, il y a des choses bizarres qu'ils se passent ... j'aime pas ça, je veux retourner à Los Angeles. C'est un cauchemars je vais bientôt me réveiller !
un petit questionnaire pour en savoir plus sur toi :
Tu es plutôt pour ou contre les bonnes causes ?
« Qu'importe ! Bonne ou mauvaise, tant que les choses bougent c'est le principal à mes yeux. »
Tu penses quoi de Forks et ses environs ?
« Je ne suis pas une grande fan de Forks. Je déteste la pluie, le froid et l'humidité, et manque de chance pour moi, ici à Forks c'est un temps pluvieux qu'il y a. A croire que je suis maudite. Je ne sais pas pourquoi ma mère à voulut déménager. Nous étions pourtant bien à Los Angeles. Oui, vous l'aurez compris. Je déteste Forks. »
Qu'es-ce que tu aimes le plus dans les hamburgers ?
« Je n'aime pas les hamburgers, cela vous va comme réponse ? C'est gras, ça à un goût assez immangeable à mon goût. Je sais que cela peut-être étonnant venant d'une américaine. Mais il faut bien une exception à la règle. »
Un T-shirt violet imprimé avec un slogan ou plutôt décolleté uni et flashant ?
« Je ne suis pas de ces filles qui portent des blouses à décolleté ultra plongeant. Non, je préfère de loin porter un t-shirt avec un slogan même ridicule s'il le faut. Le tout avec un joli slim et l'affaire est faite. »
Un petit mot pour la fin ou tu préfères t'abstenir de nous cracher des jurons ?
« Je veux rentrer à Los Angeles, je déteste Forks, ce trou perdu au fin font de Washington. »
derrière l'écran, l'ange ou le démon :
Ton pseudonyme ou prénom : Melow Ton temps de connexion : 4-7/7 La façon dont tu as connu PULSATION : Je suis déja inscrite, mais j'aime tellement le forum que j'avais envie de me faire un double compte. J'èspère que ça ne vous dérange pas hein ? Le mot de passe que nous attendons pour te valider : Where is the daughter of Isabella and Edward ? Un exemple de RP :
Spoiler:
« Oh arrête Edward. Je ne te surestimes en rien ta capacité à résister, regarde moi plutôt, je suis sereine mais au fond tu dois bien sentir que je pourrais faiblir en quelques instants et ... Certes Carlisle est le plus expérimenté mais il y a combien de temps que tu as été transformer ? Plus longtemps que moi, et moins longtemps que Carlisle, pourtant assez longtemps pour être capable de te trouver dans une foule d'humains écervelés, moi je n'en suis pas capable, pas encore du moins. »
Il y a combien de temps que je suis un monstre buveur de sang ? Quinze ans, quinze années que je dois cacher un secret, quinze années que je suis immortel, quinze années que j'ai dix-sept ans, quinze années que tous croient que je suis le frère de Carlisle alors qu'il n'en est rien. Et enfin quinze années que j'ai cette beauté naturel qui attire le regard de n'importe quel habitant qui pourrait passer à mes côté. J'avais de nouveau posé mon regard sur Esmée, celle qui avait su conquérir le cœur de mon créateur Carlisle Cullen. Encore maintenant elle me faisait sourire quand elle s'étonnait que les gens s'arrêtent devant son charme naturel. Doutait-elle encore qu'elle puisse est jolie ?
« Pas beaucoup plus longtemps que toi, à peine trois ans nous sépare je te rappelle. » Je souriais à nouveau avant de reprendre. « Certes j'arrive à me trouver dans une foule d'humains qui ne se doute même pas de qui je suis, mais sa ne change rien au fait que je n'ai pas toujours facile à résister. Mais crois-moi, un jour toi, tu arriveras à te contrôler, je le sais, tu est forte ... et tu ne ferais pas de mal à une mouche malgré ta nature. »
Un instant je fermais les yeux bloquant toujours ma respiration histoire de ne pas avoir de nouveau l'effluve de l'odeur de l'humaine, pourtant lorsque je réouvris les yeux je remarquais qu'elle était partit. Cela valait sans doute mieux pour elle, elle ne savait pas qui se trouvait non loin d'elle. Un prédateur redoutable, le plus dangereux qui puissent exister dans ce monde complètement dingue où les légendes les plus improbables pouvaient se révélées vraies, la preuve avant ma transformation, jamais je n'aurait put croire que les vampires pouvait exister, pour moi ce n'était que des comptes et légendes que l'ont racontaient aux enfants pour leur faire peur. Et pourtant ... moi voila moi ... Edward Masen pauvre humain qui devient Edward Cullen dangereux vampire.
« Je doutes qu'un meurtre aurait été commis, ce n'est pas toi... Je veux dire, tu n'es pas un assassin, certes tu es attiré par l'odeur de tel ou tel personne mais tu restes Edward, tu n'es pas celui que tu prétends être en pensant que tu aurais fait un meurtre. M'enfin, si je t'ai vraiment permis de commettre un meurtre, j'en suis ravie. »
Elle disait peut être vrais. Peut être que je me ment sur moi. Peut être ne suis-je pas la personne que je prétend être. Mais en attendant je suis toujours dans mon optique de « Tant que je tue je suis un assassin » Esmée, elle, sait résister, elle n'a jamais touché au sang des humains. Moi, pendant un moment j'ai été plus faible, j'ai déjà tué des humains, certes ils méritaient leur sort, meurtriers, sortit de prisons et j'en passe, mais ces personne restaient quand même des humains. Vulnérables et insouciants qui ne se doutaient pas de ce qui les attendaient lorsque je me suis tenus en face d'eux. Je me souvient encore d'une de mes « victimes » qui s'était moqué de moi car il pensait qu'un gamin de dix-sept ans ne pouvait pas venir à bout de lui, mais les apparences sont bien trompeuses et cette personne l'a appris à ses dépends.
« Je suppose que je peux te remercier moi aussi. Tu m'as aidé à comprendre que je n'ai pas à penser que j'ai raté quelque chose en devenant ... ainsi. Qu'enfin de compte, ces mères que j'admirais tout à l'heure ne sont pas ce qu'elles paraissent et que je ne dois pas les envier. Je suis désolé Edward, je parle trop, je sais. »
Je souriais à nouveau. C'était normal de lui dire cela. Elle avait toujours été là pour moi et moi je me devais d'être là pour elle. Je lui rendais en quelques sortes la pareille. Et ce ne serait sans doute pas là première ni la dernière fois. Ces femmes qui paraissaient si épanouies, si heureuses, si gentillen cachait leur véritables personnalité sous une apparences complètement différente de ce qu'elles sont réellement. Des hypocrites.
« C'est normal ... on peu tous douter un jour de ce que nous sommes. Et puis tu vaux beaucoup plus que toutes les mères au monde, même les plus parfaites qui pourraient exister. Et non tu ne parle pas trop. »
Je la regardais toujours, nous nous ressemblions tellement qu'il était impossible de douter de notre lien. Nous avons tous les deux la peau pâle presque translucide, les yeux dorés, la peau froide comme le marbre et dur comme la pierre.
« Quand ont lit dans les pensées on peut pas trouver les personnes trop bavardes. »
Lui dis-je alors avec une pointe d'ironie dans la voix.
Dernière édition par Carlie F. Johansson le Dim 20 Déc - 16:27, édité 11 fois
TALK ME. je veux ça, maintenant: je le connais depuis ce temps-là:
Sujet: Re: Carlie ♦ the humans ♦ ended Dim 20 Déc - 16:28
désolée du double poste. mais j'ai terminé ma fiche. j'aimerais juste savoir, est-ce que chez vous mon lecteur exportable fontionne ? parce que pas chez moi --'
edit: problème du lecteur résolu xD
Renesmée C. Cullen
NESSIE.
a daughter of isabella and edward.
MESSAGES : 133 TON ÂME SOEUR : Très bonne question. PSEUDONYME : Lulute, pour ne pas vous servir. COPYRIGHT : Ahum. Paperback (L)
TALK ME. je veux ça, maintenant: je le connais depuis ce temps-là:
Sujet: Re: Carlie ♦ the humans ♦ ended Dim 20 Déc - 20:08
Respect du modèle et des consignes ; 3/3 Décoration, icons ou musique ; 2/2
Orthographe et conjugaison ; 4/5 Originalité ; 4/5