aurélie

Isabella Marie Swan Cullen 18 ans/21 ans vampire 13 septembre 1987 à phoenyx américaine feat. kristen stewart je suis et je resterais : je suis la fille du chef de la police de forks, j'ai nommé charlie swan ainsi que de ma mère extravagante et fantasque se prénomant renée dwyer. avant de venir vivre à forks, je vivais avec ma mère à phoenyx là où il fait toujours beau. les seules fois ou je venais dans la bourgade la plus pluvieuse s'était durant deux semaines pendant les vacances d'été histoire de garder contact avec mon père. aujourd'hui je vis à forks et pour rien au monde je ne voudrais quitter cette petite ville. à l'instar de mon père, j'aime la solitude, j'aime rester des heures à bouquiner dans ma chambre. je ne suis pas de ce genre de fille qui parle sans arrêt et surtout pour ne rien dire. il m'arrive d'aller me plantée sous un arbre et rêvasser sur ma vie, ce que je suis et ce que j'aurais pû être. je suis assez connue pour être une personne maladroite, la pire de toute. il m'arrive assez souvent glisser sur une plaque de verglas durant l'hiver - et dieu seul sait combien ils sont rude ici à forks - de me prendre une porte ou encore un meuble. si vous voyez un hématôme sur ma peau, il n'y aucun soucis à se faire, c'est tout à fait normal. je suis aussi une vampire naïve, je crois facilement aux histoires que l'on me raconte, ce qui peut parfois me porter préjudice. ensuite, je suis totalement et éperdument amoureuse de mon mari edward cullen. attentive et douce, j'aime être auprès de lui pour l'écouter, voire le soutenir. je suis du genre à exprimer mes sentiments, lorsque je suis en colère on le sait tout de suite et lorsque j'aime une personne on le sait également très vite. je suis aussi une mère comblée, j'aime ma fille plus que tout autre chose. en ce moment, il y a un vide en moi, celui que seule renesmée pourra combler. je ne comprend toujours pas pourquoi on me l'a enlevée, elle n'était pourtant pas une menace !

je suis né, j'ai vécu, je suis devenu :

septembre mille neuf cent quatre-vingt-sept, le dimanche treize pour être plus précise. c'est le jour ou je suis née, le jour où je fis de mes parents, les parents les plus heureux qui pouvaient exister. déjà bébé, on disait que je ressemblais à mon père. les mêmes petites mimiques, les mêmes yeux marrons, d'une profondeur si impossible à croire. j'avais par contre le nez de ma mère. ma mère qui avait cette voix si douce à mes oreilles, et mon père avec sa grosse voix, - plus grosse que celle de maman en tout cas - cette voix dans laquelle on ressentait l'autorité. cette voix à laquelle dire non aurait pû être fatale. je me souviens encore, que de mes petits doigts j'aimais attraper les courts cheveux de ma mère afin de pouvoir jouer avec. mon père aimait me raconter que chez lui ce que j'aimais, s'était sa chaine, je ne cessais de l'attraper et de tirer dessus. comme si grâce à ma force de moucheron j'allais réussir à la lui arracher. c'est avec ce sourire qui nous caractérisait tout les deux qu'il me racontait toutes ces histoires de mon enfance. mon enfance à moi, isabella marie swan - devenue cullen par la suite -.

j'ai toujours vécut à phoenyx, ma ville natale. la ville où malgré l'indéniable soleil, je ne brunissais pas, restant pâle comme une morte l'aurait été. pourtant, je ne pouvais pas dire que je me plaignais de cette blancheur, que du contraire, mis à part ma maldroitesse, c'est ce qui me caractérisait de toutes ces gourdes qui écumaient la ville. quelques années après ma naissance, mes parents divorçèrent de comme un accord. ils ne s'aimaient plus, c'est ce que maman m'avait dit. parraitrait, qu'il arrive un jour où l'amour que l'on éprouve pour une persone disparait. je persiste à croire que l'on ne peut cesser d'aimer une personne du jour au lendemain. me concernant, il avait été convenus que je resterait vivre avec ma mère à phoenyx et que j'irais un week end sur deux chez mon père et que durant les vacances d'été je passerais deux semaines en sa compagnie. cela me semblait correct ... jusqu'au moment ou je découvrais la ville où il partait vivre ! forks, une bourgade du nord de washington, où il pleut les trois quart de l'année. manque de chance pour moi, je déteste le froid et la pluie.

puis du jour au lendemain, je cessais mes visites chez mon père. pourquoi ? comment ? je n'en sais trop rien. cela s'était fait si naturellement que je ne l'avais presque pas remarqué. bien sûr, je lui passais assez souvent des coups de téléphones afin de prendre de ses nouvelles. cela était la moindre des choses venant de sa fille. par la suite, ma mère de remaria avec un autre homme. phil dwyer, un joueur de base ball en division un. ne voyez pas là une célébrité, car ce n'est pas le cas. phil n'est qu'un jour dans une équipe mineur. étant souvent absent, je passais de longs moments avec ma mère, nous discutions de tout et de rien, de ce qui rythmait sa vie, de ses rèves. nous étions fusionelles et à l'opposées l'une de l'autre, elle, fantasque et extravagante, moi, solitaire et introvertie.

je savais que ma mère était triste de ne pas pouvoir suivre phil lors de ses déplaçements. elle devait rester à phoenyx afin de s'occuper de moi et de mon éducation. comme je n'aimais pas la voir triste je pris une décision. je décidais que je partirais vivre à forks chez mon père. je sais, je déteste cette ville, mais je peux faire un effort pour ma mère. et puis, cela me permettras de me rapprocher de mon père, qui au passage est devenus le chef de la police. c'est ainsi, que moi bella - oui parce que je déteste isabella - partais pour washington. arrivant dans un nouveau lycée en plein milieu de l'année, devant entamer une nouvelle vie dans une nouvelle ville. tout ça n'allait pas être facile, je le sentais d'avançe.

ils étaient tellement beaux, tellement différents, tellement mystérieux. mais un ce démarquait dans cette famille que l'on appelait les cullen's. jessica - ma nouvelle amie, si je puis dire ça ainsi - m'expliquait qui il était, edward était son prénom. elle m'expliquait également que lui et sa famille venait d'arriver à forks. en moi, je sentais le désir de le connaitre lui et ses semblables, mais il me faisait si peur que ça en devenait absurde. c'est vrai, que pouvait-il me faire ? c'est en cour de biologie que je fis sa connaissance. après des hauts des bats, je tombais amoureuse de lui, après avoir dcouvert qui il était ... un vampire. bien évidemment ce n'est pas lui qui m'a avouer ce qu'il était. c'est grâce à jacob - mon milleur ami - en effet, il m'avais un jour parler d'une légendre concernant sa tribu et les cullen's, j'avais eu envie d'en savoir plus, je ne m'attendais pas à ce que je découvrais, mais bizarrement je ne ressentais aucune peur. j'avais confiance en édward et je savaisqu'il ne me ferais aucun mal. la seule peur que j'éprouvais, était la peur de le perdre.

moi qui rêvait d'une vie calme fut bien déçue, car ma première année à forks fut très mouvementée. après mes premiers cours au lycée ou j'étais le sujet de conversation de tout le monde - dieu que je détestais être dans la bouche de tout le monde -, après la découverte de ce qu'était édward et ma mise en couple avec lui, un nouvel événement apparut. lors d'une partie de base-ball avec les cullen's je rencontrais trois vampires que l'on appelait des nomades. l'un d'entre eux se démarquait, le plus effrayant, celui qui décidais de me prendre en chasse par la suite. james ! c'est dans mon ancien studio de danse qu'il m'attrapait. mais croire qu'il arriverait à ses fins, était mal connaitre edward. il arriva à temps. mais james réussit quand même à me mordre. j'étais en train de me transformer, et un feu commençait à naitre dans ma tête, le venin ! il n'y avait qu'une solution pour stopper celà. edward devait sucer le venin. après hésitation - il n'avait pas confiance en lui, il avait peur d'aller trop loin - il se décidait à m'enlever ce venin, qui à chaque seconde m'enlevais une partie de mon humanité. ce fut pour moi, la plus belle preuve d'amour.

l'année suivante fut elle aussi riche en événements. début de l'année scolaire rimait avec mon anniversaire. je ne voulais pas de fête, mais s'était sans compter sur alice qui désobéirait à mes voeux. elle avait en effet préparé une fête. j'aurais tellement aimé qu'elle ne le fasse pas. alors que j'ouvrais un cadeau je me coupais à l'index ... rien de grave ? vous croyez ça ? je vous rappelle que j'étais devant sept vampires. c'est jasper qui flanchait le premier, essayant de m'attaquer edward le repoussant. par la suite, il prit la pire décision à mes yeux. il me quittait. et moi telle une idiote je crus à tous ce qu'il me disait. son amour pour moi avait totalement disparu. j'étais devenue un corps sans vie. je restais enfermé chez moi, mon père avait même été jusqu'à penser qu'il était mieux pour moi que je retourne à jacksonville. décision que je refusais catégoriquement. c'est vrai, si il revenait et que je n'étais pas là ? mais pour mon oère, je décidais de reprendre un semblant de vie. c'est auprès de jaco que je me retrouvais. ah jacob, l'ami rêver. l'attentif et le protecteur ... peut-être même un peu trop. avec lui je me sentais vraiment bien. il arrivait à combler le trou qu'edward avait creusé. en parlant de lui, je découvrais que lorsque je me mettais en danger je le voyais, je l'entendais. pour le voir encore et encore je fis de la moto, puis je plongeais d'une falaise. erreur de ma part ! alice eut la vision de mon saut, croyant que j'étais morte - alors que jacob m'avais sauvée - elle en parlait à rosalie, qui ne perdait pas de temps pour en parler à edward. ce dernier allait alors demander la mort aux volturi's afin de me rejoindre là où je n'étais pas. avec alice, je partais alors pour l'talie, je devais absolument le stopper. ce que je réussissais au dernier moment, au moment où il allait s'exposer au soleil. nous nous retrouvions enfin. lui et moi, à jamais ! durant cette même année, je découvrais l'existance des loups-garous. jacob en étant lui aussi un. toutes ces histoires, ces légendes que l'ont racontait se révélaient vraies.

je suis un vrai aimant à danger, il est impossible de le nier. après james et jasper, ce fut au tour de victoria de vouloir m'attaquer. en effet, provoquer ma mort était à ses yeux le seul moyen de se venger d'edward, car à cause de lui elle avait perdut son chèr et tendre - james -. pour ce faire, elle éleva une armée de vampire nouveaux-né. aussi étonnant que cela puissent parraître. les vampires t les loups-garous s'allièrent afin de combattre victoria et son armée. inutile de vous dire qu'elle à perdut et que nous avons gagner.

depuis que je conaissais edward, je ne cessais de lui répéter que je devais devenir comme lui, que c'était le seul moyen pour éviter tous les danger qui venait à moi ces derniers temps. mais à chaque fois je me heurtait devant une réponse négative de sa part. pourtant il était le seul - avec rosalie - à ne pas vouloir me transformer. enfin, je mens, il avait émis une condition. si je l'épousais, il me transformait. si ça s'était pas du chantage je ne voyais pas ce que celà pour bien être. après de longs mois de reflexion j'acceptais avec néanmoins des apréhensions. marié à dix-huit ! c'est après la remise des diplomes que le mariage fut célébré. nous partions alors pour notre lune de miel sur l'ile d'esmée - s'était une île que carlisle avait acheter pour sa femme, esmée -. c'est durant ces vacances, que nous dépassions le pas des doux baisers, des tendresses habituelles. même si il avait bien plus de force que moi, je m'en fichais. j'aimais nos rapports, si bien que les hématomes qui en résultaient ne me dérangeais guère. seul problème: je tombais enceinte de lui ! jamais une telle chose sétait produit au par avant. une humaine qui tombe enceinte d'un vampire. qu'est-ce que celà allait être ?

je voulais garder l'enfant, mais pas edward. je du me lier à rosalie, je sais, cela est étonnant, mais seule elle pouvait comprendre mon désir d'avoir ce bébé. je dois avouer que ce ne ut pas une rossesse des plus normal. en effet, normalement lvolution durant neuf mois, mais pas ici, en effet, à peine trois mois après je mis au monde une petite fille. mais revenons en à ces trois mois si douloureux. cette enfant me bouffait de l'intérieur. il se nourissait de mon sang. il me tuait à chaque minute. ce qui détruisait edward de me voir dans un tel état. mais dns ma tête je me disais que je ne mourrais pas. la devise de carlisle était qu'il ne transformait que ceux qui était sur le point de mourir. c'était mon cas. sans doute qu'après je ne serais plus une mortelle mais une imortelle. ce fut le cas. j'accouchais - dans des circonstances étonantes - d'une fille. renesmée carlie cullen je mourrais sur le coup !

j'avais mal, j'avais l'impression que de l'intérieur je brulais, je me consumais. je n'avais qu'une envie, mourir, mourir vite. que se passait-il ? que m'arrivait-il ? pourquoi cette douleur ? je compris ! le venin ! j'étais en pleine transformation. edward avat du m'injecter du venin afin de me sauver. mais cette transformation était bien trop douloureuse pour la supporter ! je voulais que ça s'arrête, vite, immédiatement. c'est trois jous que cette douleur dura puis elle cessa, mon coeur s'arrêtait de battre, la circulation de mon sang se stoppait, ma respiration également. je me réveillais, c'était la renaissance. mes sens étaient surdéveloppés. je pouvais entendre au loin, sentir n'importe quelle odeur. j'étais une vampire.

pourquoi ? pourquoi m'a-t-on enlever ma fille pourquoi les volturi's sont-ils venus me la reprendre ? elle n'était pourtant pas une menace. ce n'était juste qu'une enfant. certe qui grandissait à une vitesse vertigieuse mais s'était ma fille, la chaire de ma chaire et cela faisait trois ans qu'elle n'était plus avec moi. elle me manquait, elle me manque toujours. je fairait n'importe quoi pour la retrouver !

un petit questionnaire pour en savoir plus sur toi :

Tu es plutôt pour ou contre les bonnes causes ?

je suis pour les bonnes causes, dans la mesure où ça peut aider une personne où l'autre. et puis il faut vraiment être fou pour être contre ces causes. quoi que, j'en connais quelques uns qui seraient pour les mauvaises causes.

Tu penses quoi de Forks et ses environs ?

au début, je n'aimais pas forks, il faut bien l'avouer, l'humidité, la froideur, cette pluie 365 jours sur 365 n'était pas top. passer deux semaines ici durant mon enfance était bien assez. mais aujourd'hui mon avis sur forks a changé. aujourd'hui j'aime forks, ceux que j'aime sont ici à commençer par mon mari et sa famille et puis bien évidemment mon père. mais pour que forks me plaise enore plus il faudrait qu'une personne revienne auprès de moi. ma fille !

Qu'es-ce que tu aimes le plus dans les hamburgers ?

de ma période d'humanité, j'aimais les hamburger pour leur goüt, bien que cette nouriture était grasse, je ne grossssait pas d'un gramme. ainsi je pouvais en manger tant que je le voulait. par contre, j'avoue que trop de hamburgers tue le hanburger.

Un T-shirt violet imprimé avec un slogan ou plutôt décolleté uni et flashant ?

si vous me conessez, vous deviné ma réponse. je ne suis pas de ces filles qui aiment se faire remarquer avec des couleurs qui ébouïssent. je préfère de loin porter un t-shirt plutôt qu'un décolleté.

Un petit mot pour la fin ou tu préfères t'abstenir de nous cracher des jurons ?

rendez-moi ma fille ou je fais un malheur !

derrière l'écran, l'ange ou le démon :

Ton pseudonyme ou prénom : mélow pour vous servir.
Ton temps de connexion : 4/7 durant la période scolaire et 7/7 durant les vacances.
La façon dont tu as connu PULSATION : par lulute et mée
Le mot de passe que nous attendons pour te valider : BEBE NESSIE EST PASSE PAR LA ()
Un exemple de RP :

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